Le réseau Guy Hoquet a publié son bilan 2016 dans lequel il fait état du marché immobilier : les prix et le volume des transactions sont en hausse, notamment à Paris avec respectivement + 5 % et + 15 %.
+ 3,1 % pour les prix de l’immobilier en 2016 !
A l’image de Century 21, le réseau d’agences Guy Hoquet a semble-t-il connu une très bonne année 2016. Et pour cause, son bilan indique que les prix sont en hausse, particulièrement à Paris où les prix affichent une augmentation moyenne de près de 5 % contre 0,3 % en province : « Avec des conditions exceptionnelles de taux et des prix baissiers depuis 2011, les Français ont vu leur pouvoir d’achat se transformer en « vouloir d’achat ». Le cumul de ces deux baisses leur a permis, au global, de voir le prix de leur achat immobilier baisser de 20 à 25 % » affirme Fabrice Abraham, Directeur Général du Réseau Guy Hoquet l’Immobilier.
Les investisseurs sont de retour
Profitant des conditions favorables d’achat, les Français n’ont donc pas hésité à investir dans la pierre. Pour 2016, on compte notamment une part importante de primo-accédants : 41 % contre 35 % en 2015.
Une hausse moyenne de 11,5 % pour le volume des transactions en France
Cette effervescence pour le marché immobilier a, par conséquent, entrainé une augmentation du volume des transactions. Pour 2016, on compte une hausse moyenne française de 11,5 % ! Et c’est du côté de Paris que la hausse est d’autant plus importante puisqu’elle est chiffrée à + 15 %. Si l’année 2016 a été positive, 2017 pourrait suivre les mêmes résultats : « Si les taux n’augmentent pas de manière à désolvabiliser les acquéreurs, on peut penser que 2017 s’inscrira dans la tendance de 2016, même si la période préélectorale porte en elle le risque de créer quelques turbulences », conclut Fabrice Abraham.
Bon à savoir
Les conditions de vente ont changé. Les délais de vente ont significativement diminué, passant de 94 à 88 jours entre 2015 et 2016. Les acheteurs ont aussi privilégié des logements plus grands, avec une surface moyenne de 83,5 m² (2 m² de plus qu’en 2015).
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