La baisse des taux d’intérêt influe positivement sur les ventes, tant dans l’immobilier ancien que dans le neuf. La reprise n’est plus contestable.
Le marché immobilier au plus haut !
Les dernières crispations du marché de l’immobilier remontent à 2014. Le bilan 2015 est sans équivoque : plus de 800 000 reventes de logements anciens (+ 15,6 %) et pas loin de 123 000 achats dans le neuf (+ 13,6 %), assure Le Point dans sa dernière livraison. « Le montant total annuel des emprunts immobiliers s'est envolé de 30 %, à hauteur de 156 milliards d'euros de crédits accordés en 2015 (hors rachats) », affirme dans les colonnes du quotidien Bruno Deletré, directeur général du Crédit foncier. En janvier 2016, l'activité n’a pas fléchi, + 10,5 %, en niveau trimestriel glissant, contre + 0,1 % il y a un an, analyse le baromètre LPI-Seloger.
Chiffres clés
En 2015, il y a eu plus de 800 000 ventes de logements anciens (+ 15,6 %) et environ 123 000 achats dans le neuf.
La dynamique haussière touche autant Paris que la province
Autre diagnostic encourageant : « Une telle vivacité ne se constate habituellement qu'en été », souligne Michel Mouillart, professeur d'économie à l'université Paris-Ouest. En croisant les données, les disparités territoriales apparaissent, même si la dynamique haussière touche autant la capitale que la province. A une nuance près : les villes à forte attractivité économique sont plus actives que celles où le chômage demeure élevé ou encore dans les zones rurales. Dans certains secteurs, la chute des prix est telle qu’elle atteint – 50 % sur certains biens plus ou moins bien entretenus en l’espace d’une dizaine d’années.
Le baromètre des prix immobiliers LPI-SeLoger Mars 2016
http://www.youscribe.com/catalogue/tous/vie-pratique/autres/le-barometre-des-prix-immobiliers-mars-2016-2710430
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