Les ventes régressent dans l'ancien de 2 % et les prix reculent de 1,7 %, selon le réseau Guy Hoquet l’Immobilier. Une tendance de fond qui épargne Paris.
Le réseau Guy Hoquet a récemment dressé son bilan annuel 2014. Il en ressort que les acheteurs sont plus présents (+ 5 %) en 2014 qu’en 2013 mais que cette bonne nouvelle est annulée par le recul des ventes de 2 % sur un an. Les acheteurs prennent donc leur temps, comparant plus les prix, négociant plus étant plus longs à se décider. Bref, ils sont à l’affût de la bonne affaire. La désertion des primo-accédants et des investisseurs expliquent aussi cette réalité comptable. En 2014, les primo-accédants sont 30 % à acheter, ils étaient 40 % il y a trois ans. La part des investisseurs est passée de 18 à 11 %.
Paris reste un marché à part
Dans le même temps, les prix ont fléchi de 1,7 %, caractérisant une correction en douceur. Un phénomène qui contourne la capitale parisienne, où les prix ne reculent que de 0,8 %. La capitale reste un marché à part qui tend à se maintenir grâce à une forte demande et des prix qui restent stables sur les biens sans défaut.
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