Considéré il y a peu comme flirtant avec la zone rouge, l’immobilier belge est sorti de la zone de danger. Les prix immobiliers ne sont plus surcotés.
Pour le quotidien flamand De Staandard, avec des prix surévalués de 3,6 % environ, l’immobilier belge se rapproche de « l’équilibre ». Une information que la Banque nationale saura apprécier, elle qui redoutait la persistance d’un écart de 15 % avec les prix réels de 2012. Dans un classement réalisé en 2013, la Belgique apparaissait comme le deuxième pays le plus surévalué du monde, après le Canada. Une surcote de l’ordre de 56 %, d’après la dite étude.
Des taux de crédit immobilier aussi bas qu'en France
Depuis 2012, les prix belges ont encore augmenté de 4 %. Heureusement, les taux de crédit se rapprochent de ceux en vigueur actuellement en France, atteignant 2,5 % environ sur 20 ans. Ce qui permet donc aux Belges d’accéder plus facilement à la propriété et de réguler ainsi le marché.
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