Les prix de l'immobilier dans la capitale britannique atteignent des pics jamais atteints, selon une étude de Cushman & Wakefield sur l'immobilier résidentiel dans l'île.
Cela n'était plus arrivé depuis 41 ans. A Londres, en moyenne, les prix de l'immobilier sont deux fois plus élevés qu'ailleurs sur l'île. Il faut en effet prévoir en moyenne 362 699 livres à Londres pour y vivre, soit une hausse de 19 % depuis 2007, contre 178 124 livres dans le reste du pays, selon Nationwide. Le constat est historique, " on peut y voir une fracture dans le pays ", affirme Jack Simmons, responsable chez Cushman & Wakefield.
Des Londoniens locataires ?
De nombreux Londoniens sont donc aujourd'hui dans l'incapacité d'acheter, tandis que partout ailleurs dans l'île, l'accession à la propriété reste heureusement possible. Le professionnel s'inquiète de l'ampleur du phénomène : " A l'avenir, on peut envisager que la jeune génération de londoniens préférera louer plutôt que de s'engager sur un endettement long terme ", assure-t-il.
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