Metz : profitez de la baisse des prix de l'immobilier pour investir
Proche du Luxembourg et dans l’ombre de Nancy, la préfecture de Lorraine a su développer une politique attractive de transports. Metz regorge d’atouts pour qui veut devenir propriétaire.
La ville a misé sur l’essor des transports
Moins onéreux que le tram et plus fonctionnel que le bus, Metz a mis en place deux lignes de bus à haut niveau de service en octobre 2013. Ce transport en commun suit une voie et s’arrête à hauteur de quai. Idéal pour les jeunes propriétaires en poussette et les seniors, il sillonne la ville et valorise le foncier des quartiers excentrés. Ecologique, ce bus hybride (diesel et électrique) fonctionne par récupération d’énergie.
Pour les amoureux de vieilles pierres qui travaillent dans la capitale, onze allers-retours journaliers directs relient Metz à Paris. 1h25 de trajet qui permet de poursuivre son travail ou de se reposer. A noter le réseau autoroutier qui permet d'aller à Nancy en moins de 45 minutes et à Luxembourg en 55 minutes.
Metz en quelques chiffres
- 32,9 % des Messins sont propriétaires de leur résidence principale.
- La répartition des biens est globalement équilibrée : 12,8 % une pièce, 17,8 % deux pièces, 23,4 % trois pièces, 23,2 % quatre pièces, 22,8 % grands appartements.
- La baisse des prix affiche environ 10,8 % entre août 2014 et l’été dernier.
Le choix s’étoffe entre le neuf et l’ancien
Derrière la gare, une nouvelle ville dans la ville arrive. A terme, le quartier de l'Amphithéâtre réunira 33 000 m2 de commerces, 19 500 m2 de bureaux et 19 500 m2 de logements. En plus du Centre Pompidou, le parc de la Seille et le palais omnisports des Arènes sont déjà sortis de terre. Pour les pendulaires, amateurs de neuf et d’appartements clés en main, la revente est quasiment assurée.
Nouveau quartier dit forcément remise en cause de l’offre et de la demande. Ajoutez à cela un marché frileux et vous comprendrez l’analyse du responsable de l’agence locale Laveine Immobilier : « Les coins huppés pâtissent aussi de la crise. Dans le Triangle impérial ou à Sainte-Thérèse, les résidences des années 90 cotent à la baisse. Les grands appartements, en revanche, se maintiennent encore, car ils sont plus rares. » Soit une diminution des prix de 10,88 % en comparaison à l’été 2013.
Pour les acquéreurs souhaitant un bien proche de leur travail, Grigy-Technopôle allie zones résidentielles et activités tertiaires à deux pas du Palais des expos.
L’effet Pompidou dope le tourisme
A l’heure où Airbnb fait de l’ombre aux hôtels, les 400 000 entrées recensées au Centre Pompidou l’an dernier dénote que sa fréquentation n’a rien d’un effet de mode. A quinze minutes à pied de l’hypercentre, les propriétaires en quête de location temporaire miseront sur Bellecroix, Centre-Ville et aussi Plantières Queuleu. Quartier de transition entre ville et campagne, bon nombre de familles habitent ce dernier quartier. Aux antipodes, Devant-les-Ponts souffre de son manque de commerces et d’animations. Dernière zone avant les communes du nord de l’agglomération, le quartier a perdu 1,3 % de sa population entre 1990 et 1999.
Ville historique avec bientôt un nouveau quartier, Metz est une ville où les grands appartements historiques côtoient les studios accessibles aux primo accédants.
Les points clés à retenir
- Neuf et ancien restent dans des tranches de prix abordables.
- Les prix diminuent, il n’est donc pas choquant de négocier.
- Le bus à haut niveau de service rapproche les quartiers de l’hypercentre.
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