A chaque rumeur d'arrivée d'un nouveau joueur de foot au PSG, la planète immobilière s'affole, sur Paris, pour trouver un logement à ceux qui ont des pieds d'argent.
Pas facile pour un joueur de foot, à la renommée internationale, de trouver un logement digne de sa réputation. Zlatan Ibrahimovic loue un appartement à plus de 30 000 € par mois quand à David Luiz, il se mumure que cela serait bien plus. Alors quand on annonce la supposée arrivée au PSG du joueur brésilien Daniel Alvès, c'est tout l'univers de l'immobilier du luxe parisien qui est en émoi.
Bien qu'il soit impossible à Daniel Féau, agence spécialisée dans le luxe à Paris, de dévoiler les noms de ses clients émérites, son directeur général Daniel Pettex a expliqué quelles étaient les attentes si particulières de ses clients.
Un bien immobilier exceptionnel. C'est le calme de la Normandie en plein Paris ».
Nicolas Pettex, directeur général de Daniel Féeau
Devenir invisible est la priorité numéro 1 d'un joueur de foot
La première est la recherche de tranquillité et d'anonymat autant pour eux que pour leur famille. « On peut leur montrer un appartement hallucinant, cela ne servira à rien si leur confidentialité n'est pas garantie », explique Daniel Pettex , dans les colonnes du Figaro. « Lorsque vous faites une visite avec un sportif de renommée mondiale, le monde s'arrête et tous les gens autour le reconnaissent. Cela ne rend pas forcément leur vie très simple ».
Les biens à plus de 15.000 € par mois ont tous été attribués à des sportifs
La seconde est la recherche de biens d'exception. « Nous sommes sur des produits très rares avec zéro défaut. L'an passé, les produits sur le marché à plus de 15.000 € par mois ont tous été attribués à des sportifs de haut niveau. (...) Ce n'est jamais l'est de la capitale ni la banlieue est. Ces personnalités privilégient aussi des emplacements proches des écoles internationales». Les footballeurs ont une préférence naturelle pour le 16e arrondissement, le parc de Marnes-La-Coquette ou encore la villa Montmorency qui offre des ilots résidentiels très haut de gamme.
Impératif : la sécurité doit être digne de fort knox
La troisième exigence, et non des moindres, est celle de la sécurité qui va au-delà du contrôle à l'entrée pour éviter les journalistes. « Aller acheter une baguette de pain est impossible, aller à la piscine en famille aussi. Toute sortie est compliquée. On s'attache donc à garantir toutes les prestations que vous pouvez avoir du mal à trouver à Paris », détaille Nicolas Pettex. « Un produit exceptionnel. C'est le calme de la Normandie en plein Paris. Normalement, il est impossible de venir prendre une photo. Les locataires arrivent avec leur voiture aux vitres fumées dans le parking au niveau -2 et le box de la voiture mène directement à l'hôtel particulier ».
La rédaction vous conseille :
Pouvez-vous nous préciser pourquoi ? (facultatif)