Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, parle d’une évolution sociétale majeure. Pour répondre aux nouveaux comportements des Français, il faudrait 50 % de logements supplémentaires.
Habituée à disséquer les chiffres du mal-logement chaque année, la Fondation Abbé Pierre met l’accent sur une évolution sociétale majeure, à savoir la séparation des couples. Ce constat, relayé par Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, modifie l’approche de la problématique logement dans notre pays.
En région parisienne, un couple sur deux se sépare dans les 5 ans
« On ne soupçonne pas l’effet que ça a eu sur les problématiques de logement : un couple sur trois se sépare dans les 5 ans en province et un sur deux en région parisienne », a ajouté le responsable sur Europe 1. Le calcul est vite fait, il faudrait 50 % de logements supplémentaires pour répondre aux attentes.
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