A Dijon, les prix de l'immobilier ont retrouvé le niveau de 2009. Seul hic, la demande est à la baisse.
La préfecture de la Côte d’Or se situait, en juin 2014, à 2 050 €/m², soit en légère baisse (-0,67 %) sur un an. Ce prix ramène le marché immobilier à la mi-2009, d’après les observations des notaires de France. Le problème reste le « volume des ventes », assure un responsable d'une agence Orpi. Un constat comparable à celui d’autres communes de taille identique. Les primo-accédants et les investisseurs assurent le flux des transactions, pour des budgets entre 180 et 250 000 € pour les premiers et de 50 à 100 000 € pour les seconds.
Seul, le centre de Dijon attire de nombreux acheteurs
Le cœur de Dijon est la cible préférée des acquéreurs, secteur urbain chouchouté par les deniers publics et notamment ceux de la Ville. Les voies piétonnes ont été développées, les immeubles anciens font l’objet de rénovation, les monuments historiques et bâtiments publics sont aussi protégés. Les quartiers résidentiels et les appartements bien placés, par exemple dans le centre historique, continuent de marcher, et particulièrement le quartier Victor Hugo ou du côté du Parc.
Pouvez-vous nous préciser pourquoi ? (facultatif)