La station-phare de la Côte Fleurie ne vit pas que par ses paillettes et ses belles villas. Elle joue aussi la carte de la rénovation et de l’immobilier neuf dans le futur et déjà très tendance quartier de la Presqu’île.
Deauville, fondée par le duc de Morny, demi-frère de Napoléon III, reste la station emblématique de la côte normande. De cette époque subsistent encore quelques villas habitées par des familles ou découpées en appartements. L’entretien des villas engendre des travaux à renouveler sans cesse car même si certaines ne sont pas en plein front de mer elles subissent néanmoins les embruns donc la rouille occasionnée par le sel et le sable qui s’infiltre partout. La conjoncture délicate n’épargne pas les stations ni les beaux biens. Selon l’agence Barnes de Deauville, « le marché des biens supérieurs à 1 M€ est quasi inexistant, l’essentiel des transactions pour les résidences secondaires s’effectuant entre 400 et 800 000 € ».
L’opportunité du neuf dans la presqu’île
Du neuf au centre même de Deauville, une gageure, un des rares programmes réalisés par Sefri-Cime étant sur les hauteurs du Mont-Canisy. Pourtant, face à la gare, l’une des plus belles de France, donnant à la fois sur le bassin nautique, la rivière la Touques et sur l’estuaire débouchant sur la Manche, la presqu’île, no man’s land depuis plus d’une décennie, renaît. Deux opérations immobilières, l’une signée groupe IDEC en copropriété traditionnelle et l’autre Pierre et Vacances privilégiant la résidence de tourisme niveau 5 * apportent un nouveau souffle à la ville pour selon le maire Philippe Augier « redonner vie à ce quartier à forte vocation maritime ». En copropriété classique chez Idec, il faut compter une moyenne de 7 500 €/m². Chez Pierre et Vacances en propriété financière mais avec semaines d’occupation et services tels piscines, spa…les prix pour les 3 pièces démarrent à 424 000 €.
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