Propreté à Marseille, la communauté urbaine interpelée
Le journal Le Monde révèle que la Cour administrative d'appel a demandé à Marseille Provence Métropole (MPM) de mettre un terme à la pratique du " fini-parti " dans le ramassage des ordures ménagères.
C'est une pratique dite culturelle à Marseille, sur laquelle de nombreux médias se reposent pour mettre en évidence les difficultés d'organisation de la ville. Une vision quelque peu caricaturale puisque le " fini-parti " existe aussi dans d'autres villes françaises. La propreté à Marseille reste cependant une difficulté majeure liée, pour certains, à la perpétuation d'un point du règlement intérieur de la communauté urbaine de la cité phocéenne, qui permet aux agents de la collecte des ordures de quitter leur poste dès qu'ils estimaient avoir fini leur tâche.
Six mois pour se mettre en conformité
La cour administrative d'appel a décidé de frapper un grand en donnant un délai de six mois à MPM pour se conformer à cette décision, qui donne déjà lieu à des interprétations différentes entre les élus locaux. Un dossier qui n'a pas fini de faire couler de l'encre.
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