Vous êtes sur le point d’acheter ou de vendre un appartement ou une maison ? Avant de signer l’acte de vente, vous allez devoir signer un compromis de vente. Dans ce cadre, le propriétaire déclare vendre son bien à l’acquéreur qui, de son côté, accepte d’acheter le logement aux conditions prévues dans le compromis de vente. Il s’agit d’un véritable contrat. Une fois le délai légal de rétraction écoulé, les parties sont définitivement engagées. Seul le refus d’un prêt immobilier par un établissement bancaire permet à l’acheteur de se dédire. Dans les autres cas de figure, la partie lésée est en droit de demander à un juge l'exécution forcée de la vente ou le versement de dommages et intérêts. La signature d’un compromis de vente ne doit donc pas être prise à la légère.
compromis de vente
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Entre compromis, promesse et acte définitif de vente, il y a de quoi se perdre. Avant-contrat qui engage ou contrat qui scelle la vente de façon définitive... SeLoger vous guide.
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Vous avez signé un compromis de vente pour l’acquisition d’un bien immobilier, avec une condition suspensive d’obtention de prêt. Si votre demande de prêt est refusée, le compromis devient donc caduc.
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Vous achetez un bien immobilier, il vous est possible de céder vos droits dans le compromis de vente à un tiers mais uniquement si l’acte le prévoit.
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Lorsque le vendeur ou l’acquéreur ne peut pas signer le compromis de vente, il peut au préalable donner pouvoir à un tiers de signer en son nom et pour son compte.
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Si, après la signature du compromis de vente, vous vous rétractez dans le délai légal de 10 jours, vous ne pouvez pas changer d’avis.
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Un compromis de vente engage l’acheteur et le vendeur à conclure une transaction. Pour vous protéger en cas d'imprévu, il est possible d'y insérer des clauses suspensives pour annuler la transaction.