Éco Rénovons : vos partenaires pour réussir votre rénovation énergétique

Un logement classé F ou G au DPE (Diagnostic de Performance Énergétique), c'est un bien qui perd de la valeur chaque année. Les habitations qui ont un mauvais DPE sont également progressivement exclues du marché locatif. Alors que les biens classés G sont déjà concernés, ceux classés F le seront dès 2028. « Le compte à rebours est donc lancé », rappelle Krys Mondet, présentatrice de l’émission Éco Rénovons, réalisée par SeLoger, en partenariat avec Sofinco. Nous faisons toutefois face à un paradoxe. Alors que les propriétaires cherchent des solutions pour rénover leur habitat, les artisans se heurtent à des obstacles. Ainsi, trois artisans sur quatre voient leurs devis refusés, faute de budget, six sur dix peinent à avancer à cause des démarches de financement complexes auxquelles font face les propriétaires et 62 % attendent une solution simple, clé en main, pour enfin concrétiser leurs chantiers. « Face à ce double constat, une kyrielle de questions se posent. Comment rénover son logement sans se ruiner ni se perdre dans les papiers et surtout, comment les artisans peuvent enfin se concentrer sur leur métier plutôt que sur les dossiers administratifs ? », s’interroge Krys Mondet. Bonne nouvelle, il existe aujourd'hui une solution qui simplifie tout. Proposée par Sofinco, elle permet de financer les travaux dès le départ. Les artisans sont payés immédiatement et les clients ne font plus face aux difficultés administratives habituellement rencontrées.

En janvier 2026, le DPE va encore changer, impactant directement les chantiers et l’activité des entreprises de rénovation énergétique. Pour rappel, le DPE classe les logements de A à G selon deux critères : la consommation d'énergie primaire et les émissions de CO2. Depuis 2024, les petites surfaces ont déjà été revalorisées car elles étaient sur-pénalisées. Mais en 2026, c'est le gros chamboulement ! Concrètement, le coefficient électrique va passer de 2,3 à 1,9, avec des conséquences énormes puisque 850 000 logements vont sortir du statut de passoire énergétique. « Meilleure prise en compte des petits logements, du bâti ancien, des pompes à chaleurs et du photovoltaïque. Confort d'été mieux intégré. Bref, le calcul colle enfin plus à la réalité ! », affirme Krys Mondet. Ainsi, les clients dont les biens sont chauffés à l'électricité vont gagner une à deux lettres automatiquement. Ils auront donc besoin de réaliser moins de travaux pour sortir des classes F ou G. « Attention ! pour atteindre D ou E, il faut encore travailler. Isolation, pompe à chaleur, menuiseries… les compétences des artisans restent indispensables ». 

Si vous êtes artisan et que vous souhaitez vous mettre en conformité avec le nouveau DPE, votre plan d'action est le suivant : mettez à jour vos logiciels dès janvier 2026, maintenez votre certification RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) car c'est votre sésame, formez-vous aux nouveaux calculs, proposez des solutions de financement à vos clients et préparez-vous au boom de la demande !

Coefficient électrique revu, client motivé, marché qui explose… Le nouveau DPE représente une incroyable opportunité pour les artisans RGE !

Le DPE est un véritable « booster » pour les artisans, c’est incontestable. Du côté des propriétaires aussi, l’étiquette énergétique est essentielle puisqu’elle impacte la valeur de leur bien. « Il y a 15 % de différence de prix entre des biens qui sont classés G ou F et les biens classés D, soit environ -452 €/m². C'est donc significatif, d’autant plus que les marges de négociation sont accrues. Alors que nous sommes à 3 % de marge sur le marché, nous passons à 6 % pour les passoires énergétiques. C’est le double ! », affirme Baptiste Capron, Directeur Général de SeLoger, qui ajoute que des disparités régionales existent. « Dans de nombreux départements, la différence de prix entre les passoires énergétiques et les biens classés D dépasse 20 %. Dans les zones rurales et les zones un peu moins tendues, nous constatons des écarts significatifs, au-delà de 25 % ». Nous remarquons également un écart au niveau des délais de vente, de l’ordre de 5 jours : 79 jours pour les biens classés de A à E, contre 84 jours pour ceux notés F ou G. Si cet écart n’est pas énorme, il crée un stock de passoires thermiques, qui restent des biens attractifs. Ils génèrent 33 % de demandes en plus que les biens classés D. Précisons toutefois que les banques regardent de plus en plus le DPE des biens qu’elles financent. « Cela a des conséquences sur les conditions d’octroi, notamment au niveau de l’apport demandé. Les Français doivent intégrer cet élément dans leur réflexion avant de démarcher les banques pour comprendre quelle est la bonne stratégie de financement à adopter pour leurs projets », ajoute Baptiste Capron.

Si le DPE a un impact sur le prix et le délai de vente, quels sont les travaux devant être entrepris pour l’améliorer ? « Le poste de travaux le plus important pour rehausser la note d’un bien reste l'isolation. Ensuite, la solution de chauffage, puis les menuiseries », précise Julien Lanet, PDG de HOME Vert, entreprise spécialisée dans la rénovation énergétique en Bourgogne et dans les régions environnantes. « Nous avons le sentiment que les propriétaires ont de plus en plus envie de rehausser le DPE de leurs biens, mais également de trouver des solutions de financement ». D'après un récent sondage d'OpinionWay, plus de 70 % des Français prévoient des travaux pour diminuer leur facture énergétique ou améliorer leur confort, ce qui montre un marché en pleine expansion pour les artisans. « Après le grand moment de vie qu’est l'accession à la propriété, il y en a un second, qui est celui d'améliorer sa qualité de vie et d'investir dans sa maison », indique Laurent Permasse, directeur de Sofinco Éco-Transitions. « Cela s’explique notamment par l’allongement de la durée de vie. La maison reste une valeur d'épargne et de préparation de la retraite. Il est donc normal d’y investir pour mieux vivre et avoir un pouvoir d'achat maîtrisé ». « Nous observons un essor important du marché et notre rôle est d'accompagner nos partenaires, nos artisans, pour la rénovation énergétique des Français », ajoute Nelly Reiminger, responsable régionale Nord-Est de Sofinco Éco-Transitions.

Selon une étude OpinionWay, 51 % des Français veulent améliorer le confort de leur habitation.

Si les Français veulent rénover énergétiquement leur logement, le flou concernant les aides à la rénovation peut en décourager plus d’un. Où en est-on concrètement en cette fin d’année 2025 ? En réalité, il faut distinguer MaPrimeRénov’ par geste et MaPrimeRénov’ Rénovation Globale. La première concerne les mono-gestes, c'est-à-dire les travaux réalisés de manière isolée (pompe à chaleur, isolation, etc.). MaPrimeRénov’ par geste n’a pas connu de modifications importantes récemment. En revanche, c’est le cas de MaPrimeRénov’ Rénovation Globale, qui concerne les gestes de grande ampleur, dont les conditions d’octroi ont été durcies au deuxième semestre 2025. Autrement dit, pour en bénéficier, il faut faire plusieurs actes de travaux. « Or, après avoir été suspendus pendant l’été, les dépôts de dossiers sont limités à 12 000 jusqu’à la fin de l’année… et l’aide est désormais réservée aux revenus modestes et très modestes. Forcément, ces changements ont un impact », regrette Laurent Permasse, directeur de Sofinco Éco-Transitions. Toutefois, en dehors de MaPrimeRénov’, de nombreuses autres aides sont accessibles en France. En plus des autres aides de l’ANAH, comme MaPrimeAdapt’, nous pouvons citer les CEE (Certificats d’Économie d’Énergie) accordés sous conditions de ressources et de travaux par des entreprises du secteur privé, ainsi que les aides locales, pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros dans certaines communes.

Si les clients peuvent s’y perdre face à la multiplication des aides à la rénovation, ils bénéficient d’un véritable accompagnement, notamment de la part du tiers de confiance qu’est le professionnel RGE. Il connaît parfaitement l'ensemble de ces aides et est en mesure d’accompagner ses clients sur une recherche d’aides pertinentes et adaptées aux travaux. Néanmoins, les aides n’étant versées qu’une fois les travaux terminés, certains ménages, bien que conscients de la nécessité de rénover leur logement, préfèrent jeter l’éponge car ils ne disposent pas de l’épargne nécessaire. « Il faut quand même avancer des milliers d'euros. Ce n'est pas évident pour certains ménages », confirme Julien Lanet, PDG de HOME Vert. « C’est là justement que Sofinco joue le rôle de banque. Ils viennent nous aider à financer tous ces travaux de rénovation via des solutions de financement qu'on peut échelonner jusqu'à 180 mois », détaille Julien Lanet. « Je pense qu'il faut un peu tordre le cou à une légende urbaine sur le crédit », ajoute Laurent Permasse. « Nous parlons d’un investissement, d'une maison. C'est assez naturel, lorsqu’on n’en a pas les moyens, de pouvoir emprunter pour rénover ou adapter sa maison ». Un constat confirmé par Julien Lanet : « Aujourd'hui, le prêt est complètement rentré dans les mœurs. On achète un téléphone, des tablettes, via un financement.  Il n'y a pas de méfiance. Quand nous évoquons Sofinco, les clients sont rassurés ».

Pour devenir un artisan partenaire de Sofinco, c’est très simple. « Il faut être RGE car c’est la clé pour pouvoir bénéficier des aides. Ensuite, on réalise une analyse financière de la santé de l'entreprise ainsi que de sa réputation et de celle de ses dirigeants. On accompagne aussi le professionnel pour qu'il puisse faire une formation pour être IOBSP-ORIAS (Intermédiaire en Opération Bancaire et d’Assurance). Cette formation d’État lui permet d’être en mesure d’accompagner correctement, de façon professionnelle et sans abus, son client », précise le directeur de Sofinco Éco-Transitions. Les artisans partenaires de Sofinco bénéficient également d’outils digitaux pour simplifier la compréhension du dispositif, aussi bien pour eux que pour leurs clients. Être un artisan partenaire de Sofinco, c’est environ 30 % de chantiers décrochés en plus. 

Les artisans partenaires de Sofinco bénéficient d’un accompagnement sur le terrain. L’organisme de crédit vérifie également la qualité des travaux réalisés. « C'est un sujet important chez nous », confirme Nelly Reiminger, responsable régionale Nord Est Sofinco Éco-Transitions. « Nous réalisons des audits réguliers. Nous suivons la satisfaction des clients grâce à des indicateurs et nous gérons les éventuelles réclamations. Nous avons mis en place un système de notation de nos artisans partenaires ». Le client particulier peut suivre son dossier via l’application Sofinco, très fluide et simple d’utilisation. « Le client a accès à son contrat de financement ainsi qu’à des services annexes. Il peut changer sa date de prélèvement, il a accès à ses données sur les assurances et il peut, en un simple clic, demander à être rappelé par un conseiller. « Notre conseiller Sofinco est un membre à part entière de notre société », indique le dirigeant de HOME Vert.

« Être un artisan partenaire de Sofinco, c'est avoir une solution pour répondre à la problématique des Français de financer leur reste à charge », déclare Laurent Permasse. « Même si on a de l'épargne de côté, le reste à charge, en moyenne compris entre 10 000 et 20 000 €, peut être un frein pour les Français. Avec Sofinco, le professionnel va pouvoir proposer une solution de financement avec un prêt amortissable d’une durée pouvant atteindre 180 mois. De plus, le client rembourse la première mensualité de son prêt seulement six mois après la fin du chantier. Une vraie bulle d'oxygène pour son pouvoir d'achat et son reste à vivre », ajoute Laurent Permasse. « Nos artisans partenaires peuvent proposer le financement Sofinco directement à leurs clients. Sofinco règle ses partenaires dès la fin des travaux. Les artisans ont une assurance d’être payés. C’est aussi un atout pour leur trésorerie. Précisons que chez Sofinco, + de 80 % des dossiers de financement sont acceptés », indique Laurent Permasse. « Une fois le dossier monté de façon dématérialisée, il arrive directement dans nos services d'octroi, qui vont l’étudier sous 48 heures », précise Nelly Reiminger. Sofinco est donc un véritable facilitateur pour les artisans. « Je n'aurais jamais ouvert ma société si je n'avais pas eu un partenaire pour aider mes clients à financer leur reste à charge », conclut Julien Lanet.

« Le financement Sofinco c’est le meilleur du digital associé au meilleur de l’humain » Laurent Permasse.

Sofinco accompagne ses artisans sur le terrain pour leur donner les bons outils et les bons discours commerciaux. « Nous sommes implantés dans l'ensemble des territoires. Nous avons des responsables commerciaux qui accompagnent les artisans, avec un suivi commercial et un suivi chiffré grâce à des outils de reporting. Nous les accompagnons également sur les outils techniques, les outils dématérialisés, mais aussi sur toute la technologie du financement. Nos équipes de responsables commerciaux suivent des formations sur l'éco-rénovation. Nos outils de formation vont d’ailleurs être labellisés en décembre », explique Nelly Reiminger. « Nous organisons des challenges commerciaux mais également des rencontres entre les différents artisans et dirigeants, leur permettant d’échanger et de partager leurs expériences. Certains partenaires deviennent de véritables ambassadeurs », ajoute-t-elle. « Ces moments sont très importants pour mes équipes puisqu’ils permettent d’échanger avec d’autres artisans, qui ont parfois d’autres façons de fonctionner et d’autres visions », confirme Julien Lanet. « Pour nous, c’est un parti pris de soutenir une filière. Seuls 25 % des artisans sont intéressés pour proposer une solution financière sur le reste à charge, ce qui est trop peu. Il faut engager ce mouvement », ajoute Laurent Permasse.

La lutte contre la fraude au DPE est la priorité numéro un du Groupe SeLoger. « Nous vérifions l’information qui est sur notre site afin que les propriétaires aient les bonnes données sur l'écosystème des artisans et le DPE », précise Baptiste Capron, directeur général de SeLoger. « Nous mettons également en place des outils d’aide à la décision puisque notre rôle est de fournir l'information en toute transparence pour que les Français puissent comprendre tous les enjeux du DPE. Nous avons mis un outil en ligne, sur lequel il est possible de faire une simulation. Cet outil simple et ludique vous permet de comprendre où vous en êtes. Vous avez toutes les informations sur les caractéristiques du bien, notamment l'adresse, la taille et l’année de construction du bâtiment. Vous pouvez ensuite renseigner un certain nombre d'informations sur les équipements du logement. L'outil va ainsi pouvoir faire des recommandations sur les gestes de travaux à entreprendre pour améliorer la note au DPE, puis vous mettre en contact ou proposer d'être mis en contact avec des artisans RGE », ajoute le directeur général de SeLoger. Bien que la rénovation soit entrée dans les us et coutumes des Français, il existe selon lui un problème de mise en relation entre les particuliers et les professionnels. « Aujourd’hui, plus personne ne se renseigne sur un bien sans regarder le DPE. En revanche, le manque de connaissances sur le mode de financement des travaux et les compétences des artisans constituent un frein au lancement d’un projet de rénovation énergétique », conclut-il. 

Sofinco est une marque de CA Consumer Finance, SA au capital de 596 485 149€.
Siège social et adresse de gestion : 1 rue Victor Basch - CS 70001 - 91 068 MASSY Cedex, RCS Evry 542 097 522. Intermédiaire d'assurance, inscrit à l'ORIAS (Organisme pour le registre des Intermédiaires d'Assurance) sous le n° 07 008 079, consultable sur www.orias.fr.